mercredi 07 2016
mardi 06 2016
lundi 05 2016
dimanche 04 2016
DRYBRELLA.
DRYBRELLA par letribunaldunet
Quand arrivent les jours de pluie, il est un accessoire qui devient indispensable pour beaucoup de personnes : le parapluie. Bien utile pour nous protéger des gouttes, le vent reste cependant son pire ennemi. Et quand on est enfin au sec, lui ne l’est pas. Des problèmes contre lequel veut lutter Drybrella, un parapluie au design aussi étonnant que ses fonctionnalités.
Un parapluie vraiment pas comme les autres. En effet, il se replie à l'envers... Pourquoi me direz vous ? Dans quel intérêt ? Et bien c'est très simple. Ne vous est-il jamais arrivé de vous retrouver avec un parapluie trempé qui goutait partout ? Et dont vous ne saviez pas quoi faire ?
Et bien voilà, avec le DRYBRELLA, c'est terminé ! En effet, en se repliant à l'envers, le parapluie enferme les gouttes et évite d'en mettre partout. À la fin de la journée, vous avez juste à pensez à l'ouvrir pour qu'il sèche. Ce n'est pas futé franchement ?
En plus de cela, il est grand, robuste et esthétique !
Lille.
samedi 03 2016
vendredi 02 2016
Que sont devenus les migrants de Calais ? ...
Que sont devenus les migrants de Calais ? ...
Photo des migrants hébergés au centre d’accueil et d’orientation temporaire de saint-brevin-les-pins, en loire-atlantique. © franck dubray
Des migrants hébergés au Centre d’accueil et d’orientation temporaire de Saint-Brevin-les-Pins, en Loire-Atlantique.© Franck Dubray
Évacués fin octobre, environ 7 000 sont hébergés dans des centres d’accueil dont 1 300 dans l’Ouest. À Calais, 200 par semaine continuent de tenter la traversée vers l’Angleterre.
N’y a-t-il plus de migrants à Calais ?
Dans la zone industrielle des Dunes, un immense terrain vague a laissé place à la « jungle ». « Aucun squat n’a été découvert dans les environs », assure-t-on à la préfecture du Pas-de-Calais, cinq semaines après le démantèlement du bidonville de Calais.
Actuellement, selon une source locale, deux cents migrants sont découverts dans les camions, par semaine, aux abords du port et d’Eurotunnel. Lorsque le bidonville existait, il y en avait dix fois plus.
Autre interrogation : que sont devenus les migrants (1 000 à 3 000 selon les estimations) qui n’étaient pas montés dans les bus et qui avaient quitté la « jungle » juste avant l’opération de démantèleme
jeudi 01 2016
mercredi 30 2016
mardi 29 2016
lundi 28 2016
Alpha Jetman.
A quelques mètres à peine des avions de la patrouille de France. L'ancien pilote de chasse suisse, Yves Rossy, les base-jumpers français Vincent Reffet et Fred Fugen ont réalisé un exploit. Dans une vidéo publiée sur YouTube, jeudi 24 novembre, on voit les trois hommes, chacun équipé d'un réacteur dorsal, ou "jetpack" en anglais, voler avec la patrouille de France. "Une chorégraphie aérienne encore jamais vue", souligne en commentaire "Airborne Films".
dimanche 27 2016
Plus de 2 000 migrants sauvés en trois jours en Méditerranée.
Filmé par la marine italienne, le bateau espagnol Navara a recueilli 658 migrants dans la journée de mercredi. Un second navire, celui de l'ONG Save the Children, en a sauvé 1 397 dans la nuit de mardi à mercredi.
samedi 26 2016
vendredi 25 2016
jeudi 24 2016
13 migrants découverts dans un camion frigorifique au port.
Treize migrants d’origine syrienne et irakienne, cachés dans un camion frigorifique, ont été découverts par la police mardi soir au port de Calais, quatre ayant dû être hospitalisés, a-t-on appris mercredi de sources concordantes. «Les 13 personnes ont été découvertes par des agents de la police aux frontières dans le chargement d’une remorque frigorifique d’un camion espagnol qui était à +6 degrés», a déclaré la préfecture du Pas-de-Calais. Les pompiers sont intervenus et ont pris en charge quatre réfugiés syriens souffrant «d’hypothermie légère» qui ont été admis au CH de Calais «par précaution». Les neuf autres personnes, toutes irakiennes, ont été interpellées et conduites au commissariat de Coquelles. Le chauffeur espagnol du poids lourd, mis hors de cause, a pu poursuivre sa route vers la Grande-Bretagne. Il avait indiqué s’être «arrêté sur l’A26 deux heures en amont», a précisé une source proche du dossier. Trois semaines après le démantèlement de la Jungle de Calais, plus grand bidonville de France, et l’évacuation de ses 7.000 habitants, des interpellations de migrants cachés dans des camions ont toujours lieu dans le Calaisis, mais dans des proportions bien moindres. «Avant le démantèlement, nous découvrions 2.000 personnes par semaine cachés dans des poids lourds au niveau du terminal du port ou d’Eurotunnel. Aujourd’hui ces chiffres sont de 200 par semaine», relève cette source proche du dossier. Alors que ces personnes interpellées était le plus souvent relâchées auparavant, faute de moyens policiers et judiciaires suffisants, la plupart sont aujourd’hui placés en centre de rétention en vue d’un renvoi dans leur pays d’origine ou dans le premier pays européen dans lequel ils ont déposé leurs empreintes digitales : «ils rentrent dans le droit commun à présent», poursuit cette source.