lundi 02 2015
CALAIS - Le 02 / 11/ 2015.dix baleines retrouvées échouées sur la plage.
CALAIS - dix baleines retrouvées échouées sur... par lavoixdunord
Un troupeau de dix baleines s'est échoué ce matin sur la plage de Calais. Six de ces mammifères de type globicéphale noir, dont un mâle dominant de 4,50 m de long et une femelle de grande taille, ont été retrouvés morts.
Deux femelles et deux baleineaux étaient cependant encore en vie, arrosés par les pompiers qui ont mobilisé deux véhicules.
Les services de la ville, aidés des pompiers et de membres de la Ligue de protection des animaux (LPA) les remettaient à l'eau en milieu de matinée, après les avoir chargés sur des bulldozers.
"Ce troupeau était en migration pélagique vers les îles Féroé, pour se reproduire et s'alimenter", a indiqué Jacky Karpouzopoulos, référent pélagique Nord du centre de recherche sur les mammifères marins de La Rochelle. Une autopsie doit être pratiquée pour déterminer la cause de la mort.
"Il est possible qu'il s'agisse d'un échouage familial volontaire, dans le cas où le mâle dominant serait mort en mer. Le reste de la famille l'aurait alors accompagné", a ajouté Jacky Karpouzopoulos. La présence de mammifères marins dans le détroit du Pas-de-Calais n'est pas rare, selon un sauveteur en mer de Calais habitué au large.
incroyable cadeau : la médaille d'or de Sonny Bill Williams.
Charlie Lines n'oubliera jamais cette finale de Coupe du monde du Rubgy. Tout d'abord, elle a été remportée par l'équipe favorite de ce jeune néo-zélandais, les All Blacks, samedi 31 octobre. Autre raison de garder un bon souvenir : il avait la chance d'être dans les tribunes de Twickenham (Angleterre) pour y assister. Mais surtout, il pourra ramener dans l'hémisphère Sud un incroyable cadeau : la médaille d'or de Sonny Bill Williams.
Tout a commencé quand, euphorique, le garçon a tenté de rejoindre les All Blacks sur la pelouse, alors qu'ils célébraient face à la foule leur victoire contre l'Australie. Plaqué au sol par un agent de sécurité, Charlie a toutefois attiré l'attention du milieu de terrain, interpellé par la scène : "un jeune garçon est arrivé en courant et s'est fait attraper par la sécurité, il s'est fait plaquer au sol. Ce petit bonhomme m'a fait mal au cœur", a déclaré le joueur, cité par Stuff.co.nz (en anglais). Alors, il lui a offert sa médaille.
Lui qui ne voulait qu'une signature de son héros, repart avec ce petit bout de victoire. "A cet âge, avoir une telle volonté et prendre un tel risque, tu mérites une médaille. Profites en bien mon frère", a-t-il ensuite tweeté.
dimanche 01 2015
samedi 31 2015
vendredi 30 2015
jeudi 29 2015
Pourquoi les guerres ?
Pourquoi les guerres ?
Paroles et musique : Mike Ofer
Interprété par les Petits Chanteurs à la Croix de Bois
Message d'amour, de paix, de liberté adressé au monde.
Ci-dessous english text.
Why wars?
Tell me why all these wars,
Hatred, blood, and misery?
Wer’e all born on this Earth,
To live happy like brothers.
Tel me dad, why these deads?
In name of God, of all sides,
We rape, we kill, we murder
Young and old, we remove them.
Tell me, sister, why do you cry?
At the base of the Towers, there flowers,
Some men, women and children
Who we’ll eternally love.
Witch God said, and What right,
We want to impose laws?
Without freedom, without hope,
Whites or blacks without difference?
Where women suffer like slaves,
And live hell, subjected but braves,
And you, mom, wipe your tears,
They killed, they have weapons.
Our woodened souls are in anger,
There fools who want War,
Shout to the World, you, nations.
We must to punish educations,
Preaching hatred, death and blood,
In despair of poor.
To all the World, we say,
There’s no religion, that preaches
hatred, death and blood.
Why to kill innocents?
Why destroy, hurt us
We want to live, and not to die!
For all women, who are slaves,
Who live hell, subjected but braves,
The day will come, our son play,
Without hatred and religious war.
Pretty of war, Throw your weapons!
No more orphan, no blood, no tears!
To all the World, to all race :
New York, lives and embraces you.
Hope, love, peace will come,
You, freedom, we’ll win.
Freedom, we’ll win.
(text and music : Mike Ofer
Song by French choir “Les Petits Chanteurs à la Croix de Bois)
Paroles et musique : Mike Ofer
Interprété par les Petits Chanteurs à la Croix de Bois
Message d'amour, de paix, de liberté adressé au monde.
Ci-dessous english text.
Why wars?
Tell me why all these wars,
Hatred, blood, and misery?
Wer’e all born on this Earth,
To live happy like brothers.
Tel me dad, why these deads?
In name of God, of all sides,
We rape, we kill, we murder
Young and old, we remove them.
Tell me, sister, why do you cry?
At the base of the Towers, there flowers,
Some men, women and children
Who we’ll eternally love.
Witch God said, and What right,
We want to impose laws?
Without freedom, without hope,
Whites or blacks without difference?
Where women suffer like slaves,
And live hell, subjected but braves,
And you, mom, wipe your tears,
They killed, they have weapons.
Our woodened souls are in anger,
There fools who want War,
Shout to the World, you, nations.
We must to punish educations,
Preaching hatred, death and blood,
In despair of poor.
To all the World, we say,
There’s no religion, that preaches
hatred, death and blood.
Why to kill innocents?
Why destroy, hurt us
We want to live, and not to die!
For all women, who are slaves,
Who live hell, subjected but braves,
The day will come, our son play,
Without hatred and religious war.
Pretty of war, Throw your weapons!
No more orphan, no blood, no tears!
To all the World, to all race :
New York, lives and embraces you.
Hope, love, peace will come,
You, freedom, we’ll win.
Freedom, we’ll win.
(text and music : Mike Ofer
Song by French choir “Les Petits Chanteurs à la Croix de Bois)
mercredi 28 2015
mardi 27 2015
lundi 26 2015
dimanche 25 2015
samedi 24 2015
vendredi 23 2015
jeudi 22 2015
Le marchand de glace.
Un jeune couple se rend à une foire en Turquie et fait la rencontre d’un marchand de glace plutôt comique. Celui-ci, à l’aide de sa perche pour servir les sorbets, va jouer quelques tours à la petite amie du touriste qui la filme. Hilarant .
mercredi 21 2015
Calais : les migrants aussi ont droit à leur jet privé.
Calais : les migrants aussi ont droit à leur jet privé
Selon Streetpress, l'État dépense 1,5 million d'euro par an pour transporter sous escorte policière les migrants du Nord vers le reste de la France.
Par Le Point.fr
AFP©PHILIPPE HUGUEN
On avait entendu parler d'« Air Cocaïne », du nom de ce trafic de drogue démantelé en République dominicaine en mars 2013, et qui utilisait les moyens de l'aviation d'affaires pour convoyer la marchandise. Voici désormais « Air Paf », un Beech 1900 utilisé par l'État apparemment pour désengorger Calais de ses centaines de migrants. Deux à trois fois par semaine, selon le site Streetpress qui révèle l'information, un avion affrété par l'État atterrit sur le tarmac de l'aérodrome de Calais. À l'intérieur, une dizaine d'agents de la Police aux frontières (Paf), venus chercher quelques migrants interpellés par les forces de l'ordre, et que l'on souhaite déplacer autre part en France. Problème : l'appareil contient 19 places en tout et pour tout. Et comme il faut deux policiers pour escorter chaque migrant, pas plus de cinq sans-papiers peuvent ainsi être déplacés. Une goutte d'eau donc.
VOIR aussi nos reportages vidéos au coeur du bidonville de Calais.
Et ce n'est pas tout. En effet, la facture de ce système ubuesque est exorbitante : 1,5 million par an pour louer le jet privé, et des dizaines de fonctionnaires mobilisés. Le tout pour une « efficacité nulle », selon Streetpress : la plupart des migrants déplacés à l'autre bout de la France sont par la suite libérés et ne sont pas expulsés du territoire : en cause selon le site, des erreurs de procédures. Certains reviennent donc à Calais par leurs propres moyens et tentent à nouveau la traversée vers l'Angleterre.
Des centaines de milliers d'euros jetés par les fenêtres
Dès lors, l'on peine à comprendre l'intérêt d'affréter un avion de ce type. Les associations crient évidemment au scandale, mais les policiers ne sont pas ravis non plus : « Ces mesures ont un coût énorme, explique à Streetpress Frédéric Hochart, porte-parole du syndicat Unsa pour la Paf de Calais. Et en plus, la plupart des personnes qu'on éloigne reviennent. Aujourd'hui, il y a un ras-le-bol généralisé des policiers de Calais quant aux missions qu'on leur assigne. » Le ministère de l'Intérieur n'a pas souhaité communiquer.
Migrants - Calais : nos reportages au coeur du bidonville
VIDÉOS. Un migrant est mort dans la nuit de mardi à mercredi en tentant de rejoindre l'Angleterre depuis Calais. En avril, Le Point.fr s'était rendu sur place.
Par Pauline Tissot.
La ville de Calais est à nouveau au centre de l'actualité. Depuis quelques semaines, les migrants arrivaient pourtant dans la jungle du Nord-Pas-de-Calais sans que cela fasse beaucoup de bruit. D'avril à juillet, leur nombre a doublé, passant à 2 000 clandestins installés dans des tentes fragiles, déchirées. Un flot silencieux, continu, que les autorités ont choisi d'installer loin des regards, loin du centre-ville, vers une sortie d'autoroute.
Un migrant soudanais, qui tentait l'exil mardi dans la nuit vers la Grande-Bretagne, est la neuvième personne à décéder à Calais depuis le début du mois de juin. Ces morts remettent en lumière une ville qui fait face difficilement à l'afflux toujours plus important de migrants en quête d'une vie meilleure et aux tentatives inconscientes de passer par le tunnel sous la Manche. Quelque 1 500 tentatives d'intrusions ont ainsi été recensées dans la nuit de mardi à mercredi.
Calais, ville de l'éternel recommencement, ville d'accueil et de départ, où Le Point.fr vous propose de plonger avec quatre vidéos de reportage tournées en avril dernier, au coeur du bidonville, au plus près des migrants et de leur parcours.
Calais, ville d'accueil de migrants (1... par LePoint
Calais, ville d'accueil de migrants (2) : La... par LePoint
Calais, ville d'accueil de migrants (3) : "les... par LePoint
Selon Streetpress, l'État dépense 1,5 million d'euro par an pour transporter sous escorte policière les migrants du Nord vers le reste de la France.
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AFP©PHILIPPE HUGUEN
On avait entendu parler d'« Air Cocaïne », du nom de ce trafic de drogue démantelé en République dominicaine en mars 2013, et qui utilisait les moyens de l'aviation d'affaires pour convoyer la marchandise. Voici désormais « Air Paf », un Beech 1900 utilisé par l'État apparemment pour désengorger Calais de ses centaines de migrants. Deux à trois fois par semaine, selon le site Streetpress qui révèle l'information, un avion affrété par l'État atterrit sur le tarmac de l'aérodrome de Calais. À l'intérieur, une dizaine d'agents de la Police aux frontières (Paf), venus chercher quelques migrants interpellés par les forces de l'ordre, et que l'on souhaite déplacer autre part en France. Problème : l'appareil contient 19 places en tout et pour tout. Et comme il faut deux policiers pour escorter chaque migrant, pas plus de cinq sans-papiers peuvent ainsi être déplacés. Une goutte d'eau donc.
VOIR aussi nos reportages vidéos au coeur du bidonville de Calais.
Et ce n'est pas tout. En effet, la facture de ce système ubuesque est exorbitante : 1,5 million par an pour louer le jet privé, et des dizaines de fonctionnaires mobilisés. Le tout pour une « efficacité nulle », selon Streetpress : la plupart des migrants déplacés à l'autre bout de la France sont par la suite libérés et ne sont pas expulsés du territoire : en cause selon le site, des erreurs de procédures. Certains reviennent donc à Calais par leurs propres moyens et tentent à nouveau la traversée vers l'Angleterre.
Des centaines de milliers d'euros jetés par les fenêtres
Dès lors, l'on peine à comprendre l'intérêt d'affréter un avion de ce type. Les associations crient évidemment au scandale, mais les policiers ne sont pas ravis non plus : « Ces mesures ont un coût énorme, explique à Streetpress Frédéric Hochart, porte-parole du syndicat Unsa pour la Paf de Calais. Et en plus, la plupart des personnes qu'on éloigne reviennent. Aujourd'hui, il y a un ras-le-bol généralisé des policiers de Calais quant aux missions qu'on leur assigne. » Le ministère de l'Intérieur n'a pas souhaité communiquer.
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La ville de Calais est à nouveau au centre de l'actualité. Depuis quelques semaines, les migrants arrivaient pourtant dans la jungle du Nord-Pas-de-Calais sans que cela fasse beaucoup de bruit. D'avril à juillet, leur nombre a doublé, passant à 2 000 clandestins installés dans des tentes fragiles, déchirées. Un flot silencieux, continu, que les autorités ont choisi d'installer loin des regards, loin du centre-ville, vers une sortie d'autoroute.
Un migrant soudanais, qui tentait l'exil mardi dans la nuit vers la Grande-Bretagne, est la neuvième personne à décéder à Calais depuis le début du mois de juin. Ces morts remettent en lumière une ville qui fait face difficilement à l'afflux toujours plus important de migrants en quête d'une vie meilleure et aux tentatives inconscientes de passer par le tunnel sous la Manche. Quelque 1 500 tentatives d'intrusions ont ainsi été recensées dans la nuit de mardi à mercredi.
Calais, ville de l'éternel recommencement, ville d'accueil et de départ, où Le Point.fr vous propose de plonger avec quatre vidéos de reportage tournées en avril dernier, au coeur du bidonville, au plus près des migrants et de leur parcours.
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