samedi 31 2015
vendredi 30 2015
jeudi 29 2015
Pourquoi les guerres ?
Pourquoi les guerres ?
Paroles et musique : Mike Ofer
Interprété par les Petits Chanteurs à la Croix de Bois
Message d'amour, de paix, de liberté adressé au monde.
Ci-dessous english text.
Why wars?
Tell me why all these wars,
Hatred, blood, and misery?
Wer’e all born on this Earth,
To live happy like brothers.
Tel me dad, why these deads?
In name of God, of all sides,
We rape, we kill, we murder
Young and old, we remove them.
Tell me, sister, why do you cry?
At the base of the Towers, there flowers,
Some men, women and children
Who we’ll eternally love.
Witch God said, and What right,
We want to impose laws?
Without freedom, without hope,
Whites or blacks without difference?
Where women suffer like slaves,
And live hell, subjected but braves,
And you, mom, wipe your tears,
They killed, they have weapons.
Our woodened souls are in anger,
There fools who want War,
Shout to the World, you, nations.
We must to punish educations,
Preaching hatred, death and blood,
In despair of poor.
To all the World, we say,
There’s no religion, that preaches
hatred, death and blood.
Why to kill innocents?
Why destroy, hurt us
We want to live, and not to die!
For all women, who are slaves,
Who live hell, subjected but braves,
The day will come, our son play,
Without hatred and religious war.
Pretty of war, Throw your weapons!
No more orphan, no blood, no tears!
To all the World, to all race :
New York, lives and embraces you.
Hope, love, peace will come,
You, freedom, we’ll win.
Freedom, we’ll win.
(text and music : Mike Ofer
Song by French choir “Les Petits Chanteurs à la Croix de Bois)
Paroles et musique : Mike Ofer
Interprété par les Petits Chanteurs à la Croix de Bois
Message d'amour, de paix, de liberté adressé au monde.
Ci-dessous english text.
Why wars?
Tell me why all these wars,
Hatred, blood, and misery?
Wer’e all born on this Earth,
To live happy like brothers.
Tel me dad, why these deads?
In name of God, of all sides,
We rape, we kill, we murder
Young and old, we remove them.
Tell me, sister, why do you cry?
At the base of the Towers, there flowers,
Some men, women and children
Who we’ll eternally love.
Witch God said, and What right,
We want to impose laws?
Without freedom, without hope,
Whites or blacks without difference?
Where women suffer like slaves,
And live hell, subjected but braves,
And you, mom, wipe your tears,
They killed, they have weapons.
Our woodened souls are in anger,
There fools who want War,
Shout to the World, you, nations.
We must to punish educations,
Preaching hatred, death and blood,
In despair of poor.
To all the World, we say,
There’s no religion, that preaches
hatred, death and blood.
Why to kill innocents?
Why destroy, hurt us
We want to live, and not to die!
For all women, who are slaves,
Who live hell, subjected but braves,
The day will come, our son play,
Without hatred and religious war.
Pretty of war, Throw your weapons!
No more orphan, no blood, no tears!
To all the World, to all race :
New York, lives and embraces you.
Hope, love, peace will come,
You, freedom, we’ll win.
Freedom, we’ll win.
(text and music : Mike Ofer
Song by French choir “Les Petits Chanteurs à la Croix de Bois)
mercredi 28 2015
mardi 27 2015
lundi 26 2015
dimanche 25 2015
samedi 24 2015
vendredi 23 2015
jeudi 22 2015
Le marchand de glace.
Un jeune couple se rend à une foire en Turquie et fait la rencontre d’un marchand de glace plutôt comique. Celui-ci, à l’aide de sa perche pour servir les sorbets, va jouer quelques tours à la petite amie du touriste qui la filme. Hilarant .
mercredi 21 2015
Calais : les migrants aussi ont droit à leur jet privé.
Calais : les migrants aussi ont droit à leur jet privé
Selon Streetpress, l'État dépense 1,5 million d'euro par an pour transporter sous escorte policière les migrants du Nord vers le reste de la France.
Par Le Point.fr
AFP©PHILIPPE HUGUEN
On avait entendu parler d'« Air Cocaïne », du nom de ce trafic de drogue démantelé en République dominicaine en mars 2013, et qui utilisait les moyens de l'aviation d'affaires pour convoyer la marchandise. Voici désormais « Air Paf », un Beech 1900 utilisé par l'État apparemment pour désengorger Calais de ses centaines de migrants. Deux à trois fois par semaine, selon le site Streetpress qui révèle l'information, un avion affrété par l'État atterrit sur le tarmac de l'aérodrome de Calais. À l'intérieur, une dizaine d'agents de la Police aux frontières (Paf), venus chercher quelques migrants interpellés par les forces de l'ordre, et que l'on souhaite déplacer autre part en France. Problème : l'appareil contient 19 places en tout et pour tout. Et comme il faut deux policiers pour escorter chaque migrant, pas plus de cinq sans-papiers peuvent ainsi être déplacés. Une goutte d'eau donc.
VOIR aussi nos reportages vidéos au coeur du bidonville de Calais.
Et ce n'est pas tout. En effet, la facture de ce système ubuesque est exorbitante : 1,5 million par an pour louer le jet privé, et des dizaines de fonctionnaires mobilisés. Le tout pour une « efficacité nulle », selon Streetpress : la plupart des migrants déplacés à l'autre bout de la France sont par la suite libérés et ne sont pas expulsés du territoire : en cause selon le site, des erreurs de procédures. Certains reviennent donc à Calais par leurs propres moyens et tentent à nouveau la traversée vers l'Angleterre.
Des centaines de milliers d'euros jetés par les fenêtres
Dès lors, l'on peine à comprendre l'intérêt d'affréter un avion de ce type. Les associations crient évidemment au scandale, mais les policiers ne sont pas ravis non plus : « Ces mesures ont un coût énorme, explique à Streetpress Frédéric Hochart, porte-parole du syndicat Unsa pour la Paf de Calais. Et en plus, la plupart des personnes qu'on éloigne reviennent. Aujourd'hui, il y a un ras-le-bol généralisé des policiers de Calais quant aux missions qu'on leur assigne. » Le ministère de l'Intérieur n'a pas souhaité communiquer.
Migrants - Calais : nos reportages au coeur du bidonville
VIDÉOS. Un migrant est mort dans la nuit de mardi à mercredi en tentant de rejoindre l'Angleterre depuis Calais. En avril, Le Point.fr s'était rendu sur place.
Par Pauline Tissot.
La ville de Calais est à nouveau au centre de l'actualité. Depuis quelques semaines, les migrants arrivaient pourtant dans la jungle du Nord-Pas-de-Calais sans que cela fasse beaucoup de bruit. D'avril à juillet, leur nombre a doublé, passant à 2 000 clandestins installés dans des tentes fragiles, déchirées. Un flot silencieux, continu, que les autorités ont choisi d'installer loin des regards, loin du centre-ville, vers une sortie d'autoroute.
Un migrant soudanais, qui tentait l'exil mardi dans la nuit vers la Grande-Bretagne, est la neuvième personne à décéder à Calais depuis le début du mois de juin. Ces morts remettent en lumière une ville qui fait face difficilement à l'afflux toujours plus important de migrants en quête d'une vie meilleure et aux tentatives inconscientes de passer par le tunnel sous la Manche. Quelque 1 500 tentatives d'intrusions ont ainsi été recensées dans la nuit de mardi à mercredi.
Calais, ville de l'éternel recommencement, ville d'accueil et de départ, où Le Point.fr vous propose de plonger avec quatre vidéos de reportage tournées en avril dernier, au coeur du bidonville, au plus près des migrants et de leur parcours.
Calais, ville d'accueil de migrants (1... par LePoint
Calais, ville d'accueil de migrants (2) : La... par LePoint
Calais, ville d'accueil de migrants (3) : "les... par LePoint
Selon Streetpress, l'État dépense 1,5 million d'euro par an pour transporter sous escorte policière les migrants du Nord vers le reste de la France.
Par Le Point.fr
AFP©PHILIPPE HUGUEN
On avait entendu parler d'« Air Cocaïne », du nom de ce trafic de drogue démantelé en République dominicaine en mars 2013, et qui utilisait les moyens de l'aviation d'affaires pour convoyer la marchandise. Voici désormais « Air Paf », un Beech 1900 utilisé par l'État apparemment pour désengorger Calais de ses centaines de migrants. Deux à trois fois par semaine, selon le site Streetpress qui révèle l'information, un avion affrété par l'État atterrit sur le tarmac de l'aérodrome de Calais. À l'intérieur, une dizaine d'agents de la Police aux frontières (Paf), venus chercher quelques migrants interpellés par les forces de l'ordre, et que l'on souhaite déplacer autre part en France. Problème : l'appareil contient 19 places en tout et pour tout. Et comme il faut deux policiers pour escorter chaque migrant, pas plus de cinq sans-papiers peuvent ainsi être déplacés. Une goutte d'eau donc.
VOIR aussi nos reportages vidéos au coeur du bidonville de Calais.
Et ce n'est pas tout. En effet, la facture de ce système ubuesque est exorbitante : 1,5 million par an pour louer le jet privé, et des dizaines de fonctionnaires mobilisés. Le tout pour une « efficacité nulle », selon Streetpress : la plupart des migrants déplacés à l'autre bout de la France sont par la suite libérés et ne sont pas expulsés du territoire : en cause selon le site, des erreurs de procédures. Certains reviennent donc à Calais par leurs propres moyens et tentent à nouveau la traversée vers l'Angleterre.
Des centaines de milliers d'euros jetés par les fenêtres
Dès lors, l'on peine à comprendre l'intérêt d'affréter un avion de ce type. Les associations crient évidemment au scandale, mais les policiers ne sont pas ravis non plus : « Ces mesures ont un coût énorme, explique à Streetpress Frédéric Hochart, porte-parole du syndicat Unsa pour la Paf de Calais. Et en plus, la plupart des personnes qu'on éloigne reviennent. Aujourd'hui, il y a un ras-le-bol généralisé des policiers de Calais quant aux missions qu'on leur assigne. » Le ministère de l'Intérieur n'a pas souhaité communiquer.
Migrants - Calais : nos reportages au coeur du bidonville
VIDÉOS. Un migrant est mort dans la nuit de mardi à mercredi en tentant de rejoindre l'Angleterre depuis Calais. En avril, Le Point.fr s'était rendu sur place.
Par Pauline Tissot.
La ville de Calais est à nouveau au centre de l'actualité. Depuis quelques semaines, les migrants arrivaient pourtant dans la jungle du Nord-Pas-de-Calais sans que cela fasse beaucoup de bruit. D'avril à juillet, leur nombre a doublé, passant à 2 000 clandestins installés dans des tentes fragiles, déchirées. Un flot silencieux, continu, que les autorités ont choisi d'installer loin des regards, loin du centre-ville, vers une sortie d'autoroute.
Un migrant soudanais, qui tentait l'exil mardi dans la nuit vers la Grande-Bretagne, est la neuvième personne à décéder à Calais depuis le début du mois de juin. Ces morts remettent en lumière une ville qui fait face difficilement à l'afflux toujours plus important de migrants en quête d'une vie meilleure et aux tentatives inconscientes de passer par le tunnel sous la Manche. Quelque 1 500 tentatives d'intrusions ont ainsi été recensées dans la nuit de mardi à mercredi.
Calais, ville de l'éternel recommencement, ville d'accueil et de départ, où Le Point.fr vous propose de plonger avec quatre vidéos de reportage tournées en avril dernier, au coeur du bidonville, au plus près des migrants et de leur parcours.
Calais, ville d'accueil de migrants (1... par LePoint
Calais, ville d'accueil de migrants (2) : La... par LePoint
Calais, ville d'accueil de migrants (3) : "les... par LePoint
A Calais, l’Etat transfère les migrants en avion privé.
A Calais, l’Etat transfère les migrants en avion privé.
Le site d’information StreetPress révèle le système mis en place à Calais pour transférer des sans papiers, tous libérés peu de temps après. Cela coûte 1,5 million d'euros à l'Etat.
Cela paraît incroyable. L'histoire de "Air sans pap", l'avion affrété par l'Etat pour transférer des sans papiers de Calais vers les centres de rétention de Rennes, Nîmes ou encore Hendaye, révélée par le pure player StreetPress cette semaine, semble même "ubuesque". Principalement parce que cela ne servirait à rien et coûterait très cher selon le site d'information.
"Le tout pour une efficacité nulle", affirme StreetPress qui assure que "tous les réfugiés transférés en avion ont ensuite été libérés". L'objectif de "répartir "la pression migratoire sur tout le territoire" ne serait donc pas du tout atteint. Les migrants retournant dès leur libération à Calais.
Des transports d'enquêteurs
Toutefois, selon Europe1.fr , "cet avion ne sert pas qu'à éloigner les migrants de la "jungle" de Calais, il est surtout utilisé pour des transports d'enquêteurs de la Direction générale de la Police nationale ou de la surveillance. Le site Internet de la radio ajoute que "depuis quelque mois en effet, c'est avec ce Beechcarft 1900 que l'Etat transfère certains migrants en instance d'expulsion". Des voyages qui coûteraient "15.000 euros par migrant", selon Europe 1, citant "un avocat spécialiste du droit des étrangers".
Toujours pas de réponse du ministère de l'Intérieur
"Au départ, j'ai entendu parler de ces vols surtout dans des associations qui aident les migrants, comme la Cimade, citée dans l'article", explique Tomas Statius, journaliste à StreetPress et auteur de l'article, dans un entretien accordé aux Echos. Au départ, il ne reçoit que "des fins de non recevoir" des autorités. "Comme dans toute enquête, ajoute-t-il, au départ on ne voulait rien nous dire puis des policiers ont fini par nous parler."
Mais du côté du ministère de l'Intérieur, personne ne souffle mot. "Même maintenant, nous n'avons toujours pas de réponse de la part des services de la place Beauvau", ajoute Tomas Statius. Et l'auteur d'ajouter : "Il paraît même que dans les centres de rétentions administratifs, les employés se font passer l'article."
Un système "moins coûteux"
De son côté, le site BFMTV explique avoir eu la confirmation par le ministère de l'Intérieur de l'existence de ces vols, servant à transférer des migrants. Un système qui serait "moins coûteux que de raccompagner les migrants par la route", précise-t-on du côté de la place Beauvau.
Vidéo ci_dessous
Calais: L'État loue un jet privé pour éloigner... par 20Minutes
mardi 20 2015
lundi 19 2015
dimanche 18 2015
samedi 17 2015
vendredi 16 2015
Calais: en tentant de monter dans un camion, des migrants tombent sur un ours polaire.
Les images diffusées sur le site Internet du journal The Sun sont saisissantes : on y voit un homme, probablement un migrant, ouvrir les portes arrière d’un camion circulant au ralenti. Plusieurs migrants enjambent alors la glissière de sécurité pour le rejoindre et monter dans le poids lourd. Ce genre de scène est quotidienne à Calais. Sauf qu’à l’intérieur se trouve un ours polaire blanc enfermé dans une cage. Au moins quatre hommes montent quand même tandis que les autres, peut-être effrayés, ont un mouvement de recul et font demi-tour. L’un d’entre eux ferme les portes du camion dans lequel se sont cachés ses compagnons d’exil.