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vendredi 05 2019

Visite des Serres Royales à Laeken (Belgique)


Chaque année, au printemps, les Serres de Laeken sont ouvertes au public, durant environ 3 semaines. L'occasion de découvrir l'architecture magistrale d'Alphonse Balat, le professeur de Victor Horta, et une collection florale exceptionnelle. Construites de 1874 à 1876. Les dimensions de la première serre ont permis la plantation de palmiers de haute tige, dont la plupart datent encore de l'époque de Léopold II.

jeudi 27 2019

pourquoi il ne faut pas manger de tomates bio en hiver !



Le bio, ça ne doit pas être industriel !" : un restaurateur vous explique pourquoi il ne faut pas manger de tomates bio en hiver
Des agriculteurs bio, des ONG, et des chefs, ont lancé une pétition contre "l'industrialisation du bio", symbolisée par les tomates.Des tomates bio cultivées en serre sont produites notamment en Italie et en Espagne.
lAlors, les serres chauffées vont-elles encore être autorisées en bio ? "Nous avons jusqu’au 11 juillet 2019, prochaine date du Comité national de l’agriculture biologique, pour convaincre le ministre de l’Agriculture de lutter contre l’industrialisation du bio en limitant le recours au chauffage des serres", indique la pétition.

mercredi 26 2019

la tomate en crise, des tonnes de marchandises détruites.


La tomate est aujourd'hui confrontée à une crise majeure. Pour beaucoup de producteurs, la seule solution est de détruire des stocks. Explications.
Légume le plus consommé en France, la tomate est pourtant aujourd'hui en crise. À Chantepie, dans l'Ille-et-Vilaine, près de 40 tonnes de tomates pourrissent sous une bâche. Invendues, elles ont été déposées là par un agriculteur pour en faire du compost. Depuis un mois, le secteur connaît une crise sans précédent. "Ça fait trois semaines qu'on jette plus de 100 tonnes par semaines", explique Isabelle Georges, directrice de Solarenn, la coopérative agricole à Saint-Armel.
"Aujourd'hui, même les banques alimentaires sont saturées"
En règle générale, chez Solarenn on ne jette rien. On s'arrange pour que tout soit distribué. Alors, avant de détruire les tomates, toutes les solutions ont été envisagées, en vain. "Aujourd'hui, même les banques alimentaires sont saturées. On est obligés de détruire de la marchandise qui va en méthanisation et en compostage", confie Christophe Rousse, président de Solarenn. 500 tonnes de tomates bretonnes ont été détruites depuis le début du mois de mai. Plusieurs raisons à cela : des prix trop élevés dans la grande distribution, mais également trop d'importations.